SAINT- PIERRE QUIBERON
» Coeur de presqu’ile »
Réponses
La Circulation :
– Afin de limiter la circulation sur la D768 et plus particulièrement en période
estivale nous suggérons que soit mis à l’étude :
– La création d’un parking à Plouharnel qui pourrait accueillir une grosse partie
des véhicules des « touristes » allant à Belle-Isle, ces derniers rejoindraient
Quiberon par des navettes (le tire bouchon revu et corrigé).
Cette solution permettrait de limiter très sérieusement le nombre de voitures et
valoriserait la ligne de chemin de fer.
Réponse N° 1 : Le parking de Plouharnel :
La commune de Plouharnel est maître d’oeuvre sur son territoire, au même titre
que les autres communes.
La carte du PLU de Plouharnel présente des zones Na et des zones « espaces
boisés » classées, de chaque côté de la voie ferrée avant le passage à niveau du «
Bégo ». Le projet de la construction éventuelle d’un parking important de l’autre
coté du passage à niveau du « bégo » serait à notre avis du ressort de
l’intercommunalité AQTA (Auray Quiberon Terre Atlantique). Nous avons
deux sièges à l’intercommunalité de commune et à ce titre, nous serons désireux
de participer à un tel projet s’il était proposé par l’intercommunalité AQTA. A
l’heure où les dotations de l’Etat sont à la baisse, cette réflexion à long terme
mérite d’être menée en liaison avec l’utilisation et la gestion de la ligne TER
Auray/Quiberon. D’un point de vue purement touristique pour notre commune,
le fait de transporter des touristes piétons de Plouharnel à Quiberon, par la voie
ferrée impacterait encore plus le déficit touristique et la fréquentation des
établissements Saint-Pierrois qui connaissent déjà des difficultés. Un gain de
tranquillité est peut être à ce prix.
Par ailleurs, la déchetterie de Quiberon étant située à proximité de la voie et que
l’usine d’incinération non loin de la gare de Plouharnel, ne pourrait-on pas
imaginer que le transport des déchets soit effectué par wagons SNCF au lieu de
voir sur la route un va et vient de camions « nauséabonds » ?
Réponse N° 2 : La déchetterie de Quiberon :
Les communes concernées en premier lieu sont Quiberon (le lieu de collecte de
la déchetterie dans la presqu’ile) et Plouharnel ( le lieu d’incinération et de valorisation des déchets.), Saint-Pierre Quiberon étant un point de passage des
convois.
Bien que votre souhait soit louable, la décision de modifier les moyens
d’évacuation des bennes de la déchetterie de Quiberon par la voie ferrée, puis de
les déposer à Plouharnel et de les recharger sur des camions pour les acheminer
à l’incinérateur distant de 3kmdu bourg, n’est pas que du ressort de la commune
de Saint- Pierre. Une telle étude de projet concerne une nouvelle fois
l’intercommunalité de communes AQTA. Saint -Pierre Quiberon possède 2
sièges dans cette assemblée qui en compte 56 , il serait malhonnête de notre part
de laisser penser aux Saint-Pierrois que nous pourrions influer majoritairement
sur un dossier aussi lourd. A Saint-Pierre, le PLU (voir la carte du PLU), à la
demande de la municipalité actuelle réserve une zone pour l’édification d’une
structure pour personnes âgées au « Zal » à la sortie de Kerhostin. Cette zone
touche la voie ferrée. Il serait désobligeant que les chargements nauséabonds
soient déplacés de la route départementale, sous les futures fenêtres de nos
anciens, bien que cette gêne existe et qu’elle incommode les riverains, surtout en
été.
Bien qu’y ait eu des avancées concernant la piste cyclable, quand peut-on
espérer ne plus voir de très nombreux cyclistes (parfois beaucoup d’enfants) sur
cette route si encombrée de Kerhostin à Penthièvre ?
Réponse N° 3 :La piste cyclable
La piste cyclable venant de Plouharnel à Saint-Pierre s’arrête à Penthièvre au
niveau de l’auberge de jeunesse, c’est-à-dire toujours sur la commune de
Plouharnel. (L’AJ faisant partie de Plouharnel). Seules quelques dizaines de
mètres équipent notre commune. On ne peut parler de piste cyclable à SaintPierre.
Une piste cyclable doit être une piste ou un chemin isolé de la circulation
motorisée par un séparateur infranchissable. Même le chemin du « Pouladen »,
ne peut être considéré comme piste cyclable. On ne peut non plus parler de voie
verte sur la commune car une voie verte est un aménagement en site propre.
Seule une centaine de mètres existe à la sortie de kervihan, débutant ainsi
l’itinéraire qui mène à Quiberon. Les cyclistes circulant sur notre commune
doivent se contenter du marquage au sol à la peinture verte le long des diverses
routes et rues. Un chemin cyclable est cependant aménagé de l’écurie « La
grande randonnée, jusqu’à la limite de notre commune après kerboulevin. Il
existait bien avant qu’on s’occupe des cyclistes sur la commune. Donc beaucoup
de promesses à ce sujet sont restées dans les cartons. Dans ce cas nous pouvons
vous répondre que nous pèserons de tout notre poids pour voir enfin la création
d’une vraie piste cyclable, dont le tronçon prioritaire sera celui reliant
Penthièvre à Kerhostin avec le franchissement sécurisé du passage de l’isthme.
En partant quasiment de zéro en terme de réalisation de piste cyclable, nous
pensons donc avoir des arguments pour convaincre les différentes autorités de
nous aider rapidement sur ce projet.
NB : Sur le site de l’office du tourisme, vous pouvez lire :
« Depuis 2011, la voie verte relie Quiberon à Saint Pierre et se prolonge vers
Plouharnel. »Pour ce qui est de Quiberon à Saint-Pierre, c’est vrai, pour ce qui
est de la sortie de Penthièvre, à Plouharnel, c’est faux, une voie verte devant être
aussi autorisée aux cavaliers.
La vitesse des automobilistes entre le fort « Penthièvre » et le feu de
KERHOSTIN est particulièrement élevée, il y a nécessité de créer un rond point
(ou autre) afin de « casser cette vitesse excessive, ce qui rassurerait aussi les
campeurs qui ont beaucoup de problèmes à ce niveau.
Réponse N° 4 : La vitesse au Fort de Penthièvre.
La circulation sur la route départementale est particulièrement élevée en été. La
vitesse excessive des véhicules venant du fort de Penthièvre et entrant dans
Kerhostin est malheureusement et manifestement constatée. Cette circulation
constitue un réel danger pour les riverains et les usagers du camping municipal
de Kerhostin.
Plusieurs solutions combinées peuvent être envisagées. Un avertisseur appelé
« Radar pédagogique »signale à un automobiliste qu’il est en infraction lorsque
le seuil de vitesse est dépassé, sans toutefois le verbaliser .Partout où ces radars
ont été installés, le réflexe de l’automobiliste (et non du chauffard, pour lequel
aucun aménagement ne modifiera son comportement) a été de réduire sa vitesse,
et ces types d’appareils ont été plébiscités par la quasi totalité des riverains où
ils ont été installés. Cet avertisseur trouverait sans doute sa place en haut de la
côte du fort de Penthièvre. Cet appareil pourrait être couplé pendant trois mois
de l’année de mi-juin à mi-septembre à des feux tricolores (alimentés par
panneaux solaires). Ces feux à déclenchement de présence (en venant du
camping) et à minuterie (pour ne pas ajouter des bouchons aux bouchons)
permettraient une sortie sécurisée des véhicules à cet endroit, et ne perturberait
que très peu la fluidité de la circulation puisque les feux tricolores actuels de
Kerhostin fonctionnent à 300 m de là. Conjointement, l’étude d’un rond-point à
cet endroit pourrait être envisagée (dans ce cas, la sécurité trouve cependant plus
d’attrait que notre amour pour les ronds-points) si les moyens mis en œuvre
n’étaient pas suffisants, mais contrairement aux autres ronds-points réalisés sur
notre commune, le projet passerait par la concertation des Saint-Pierrois.
Il serait urgent de sécuriser la traversée de la départementale au niveau de
l’entrée du fort » Penthièvre » pour les visiteurs qui stationnent coté baie et
traversent cette route sans aucune visibilité
Réponse N° 5 : La traversée de la RD pour les piétons au fort de Penthièvre.
La sécurisation du franchissement de la route départementale pour les piétons à
ce niveau est indispensable et urgente. Il n’existe pas de passage protégé à cet
endroit, et l’entrée du fort de Penthièvre situé après la côte, en sortant de
Kerhostin ne permet pas une sécurisation optimum pour les visiteurs du fort(
même avec un passage protégé et un feu tricolore). L’idée serait d’interdire la
visite du fort par cet accès situé sur la RD et réservé aux militaires. Après une
signalétique judicieuse et des panneaux d’informations placés sur le parking en
face du fort, et partout où ils seront nécessaires, l’itinéraire choisi, serait
d’amener les visiteurs (dont la plupart sont des automobilistes) ainsi que les
cyclistes à entrer dans Kerhostin, prendre à droite en direction de Portivy,
franchir le passage à niveau et tourner à droite dans la rue du Pouladen. Au bout
ce cette rue, on pourrait aménager une aire de stationnement (bancs, arbres,
fleurs) avec en continuité un chemin aménagé et balisé sur la falaise et menant
au fort de Penthièvre. Ce chemin est celui qu’empruntent les randonneurs venant
du moulin rouge. Ce balisage d’itinéraire pourrait être effectué également pour
les visiteurs venant de Portivy et les usagers du chemin du Pouladen. En outre il
aurait le mérite de mettre en valeur le bout de la rue du Pouladen.
Un aménagement en concertation avec les autorités militaires concernées serait
bienvenu.
La falaise se dégrade coté Baie au point que le sentier de grandes randonnées ne
sera plus praticable en sécurité dans quelques années.
Quelle sera votre action ?
Réponse N° 6 : La falaise se dégrade.
Par le passé, les falaises étaient entretenues et nombres de murs de soutènement
de pierre ou de béton renforcent les sentiers des douaniers. Les municipalités qui
se sont succédées ont fait un choix, les premières ont sans doute privilégié
l’entretien des falaises avec un budget, d’autres ont fait pousser des plots de bois
et autres balustrades, ont réaliser des aménagements qui ne sont pas d’une
urgence capitale lorsque l’on sait qu’à quelques mètres de ces réalisations, la
falaise se dégrade. Cependant le budget n’étant pas élastique, c’est le choix de
chacun. En ce qui nous concerne, nous privilégierons un budget d’entretien des
falaises. A moindre coût pour la commune, nous solutionnerons les
affaissements de falaise par un enrochement scellé et durable
( à l’image du terre plein Est de Portivy) les plaques de béton ne résistent
malheureusement pas (à l’image de l’isthme à Penthièvre). A défaut d’enrochement qui résoudront la
quasi-totalité des dégradations coté Ouest des côtes, nous procéderons au cas par
cas avec des structures de béton et non des plaques, là où un enrochement ne
sera pas possible. Les réparations des falaises aux abords immédiats des sites
touristiques largement fréquentés (plages, lieux, villages) feront partie d’une
étude à part en associant les résidents, afin que la réparation garde le caractère
pittoresque d’un site. Notre politique en la matière ne sera pas celle d’attente de
subvention, elles seront bien entendu bienvenues si elles arrivent, mais l’action
principale sera de s’attaquer tout de suite au problème, sans vouloir se substituer
aux diverses autorités concernées par ce point. L’essentiel sera de ne pas rester
dans l’attente. A Portivy, à la pointe des courlis, cela fait déjà plusieurs années
que des barrières ont été mises en place devant la falaise qui se dégrade et se
fragilise de plus en plus dans la fréquence et l’intensité. C’est le seul accès
routier (usagers,médecins, pompiers, ambulances) pour trois maisons.
Maintenant cet unique accès est fermé. Notre objectif sera donc de réparer, et
ensuite d’aménager, et non l’inverse. Dans ce cas l’enrochement nous parait être
une des meilleures solutions compte tenu des coûts et de la fiabilité des
réparations à effectuer.
Pour ce qui concerne les mouillages coté baie et océan les utilisateurs de bateaux
sont dans l’obligation de payer une « redevance »sans aucune contre
partie…c’est un flou absolu. Quelles peuvent être les solutions ?
Réponse N° 7 :Les mouillages coté Baie et Océan .
Actuellement les mouillages côté baie et océan sont soumis à une redevance
sans aucune contrepartie. Seule une priorité (par rapport à Quiberon) d’une zone
de mouillage proposée par la préfecture devant le camping du Rohu.a été
retenue (Rapport N°14 du CM du 25/10/2012). Dans le futur PLU, deux zones
UP sont cartographiées (voir carte du PLU), une devant le port de Portivy et une
devant le port d’orange. Il aurait été judicieux d’intégrer les autres zones de
mouillage utilisées par les pêcheurs plaisanciers en été .Les mouillages devant
Kerhostin (coté baie) ,ainsi que les mouillages devant Saint-Joseph de l’Océan et
le Fozo (coté océan) auraient trouvé leurs places sur le maillage de la carte PLU.
Nous proposerons aux pêcheurs plaisanciers des modalités d’installations et un
zonage, dans la limite des restrictions de la législation. Aujourd’hui, les
campeurs caravaniers du Lizeau n’ont pas le vent en poupe, qu’en sera-t-il
demain pour les plaisanciers de la mer si on ne leur attribue pas une zone de
mouillage dès maintenant?
Demain le PLU ne nous permettra plus de faire ce que le POS nous autorise
aujourd’hui, c’est pourquoi nous défendrons au mieux l’intérêt des SaintPierrois et la liberté d’évoluer sur notre commune qui nous échappe rapidement
au fil des divers arrêtés et interdits de toutes sortes. Pour intégrer ces nouvelles
zones, il faudra passer par une modification du PLU en cours. Le domaine
maritime communal s’étend jusqu’à 300 m de ses côtes et seul le maire est
investi des pouvoirs de police pour réglementer l’utilisation de son domaine
publique.
La façon de la gestion de ces mouillages ne peut continuer dans cette opacité en
dépit de la législation en vigueur. A propos de mouillages, nous afficherons
aussi publiquement la liste des demandes d’attente des places dans les ports,
point que nous n’avons jamais réussi à obtenir.
Un projet d’aménagement et de valorisation de l’isthme (espace situé au niveau
de l’ex « Trinitaire »avait été présenté avec entre autre la démolition de la
maison du garde qui en ce moment ne valorise en rien le site avec ses ouvertures
( bouchées avec des parpaings).
Réponse N° 8 : Un projet d’aménagement de l’isthme.
Nous n’avons pas connaissance du projet en question. Nous n’avons pas lu
d’article à ce sujet dans la presse locale et ce point n’a jamais été évoqué en
conseil municipal. Nous sommes toutefois informés de la prochaine démolition
de la maison du garde barrière. A ce titre, cette maison garde t-elle encore son
utilité ?
D’un point de vue esthétique, sans doute que non, d’un point de vue sentimental
et affectif pour les Saint-Pierrois, probablement que oui. Au-delà de ces deux
points, cette maison que les automobilistes ont en ligne de mire en sortant de
Penthièvre, a le mérite de signaler simplement par sa présence, le passage à
niveau et de faire réduire sans aucun doute la vitesse des véhicules. Si un plan
d’aménagement pouvait remplacer la diminution de vitesse que cette maison
par sa présence, engendre bien malgré elle, nous serions ravis de pouvoir
donner satisfaction aux Saint-Pierrois pour ce projet. Un ingénieur urbaniste de
notre équipe planche depuis plusieurs mois sur une étude que nous avons menée
en parallèle (sans savoir qu’un projet existait). Nous concerterons et écouterons
les Saint-Pierrois intéressés par ce point d’aménagement.
Quelle sera votre action à ce sujet ?
Le Village
Le projet concernant l’enfouissement des réseaux dans le centre du village
devrait commencer début 2014.
Cette première tranche concerne les canalisations d’eaux.
La seconde partie, concernera l’enfouissement des réseaux électriques …
Pouvez-vous nous confirmer votre engagement à prendre en compte l’ensemble
du projet et le calendrier de sa mise en œuvre ?
Par ailleurs nous demandons à être associes aux choix qui seront effectués à
terme pour les équipements tels que les lampadaires.
Réponse N° 9 :L’enfouissement des réseaux
Vous nous rapportez que :
« Le projet concernant l’enfouissement des réseaux dans le centre du village
devait commencer début 2014.
Cette première tranche concerne les canalisations d’eaux. »
Il va de soit, à notre avis que les canalisations d’eaux soient toujours enfouies.
Le programme en cours se poursuivra comme prévu.
Le deuxième point concerne l’enfouissement des réseaux électriques et
téléphoniques. Nous pouvons bien entendu vous confirmer notre engagement à
ce que l’enfouissement des réseaux se poursuive. Toutefois nous ne pouvons pas
vous préciser le calendrier des travaux, n’étant pas en charge du dossier
actuellement. D’autre part, il est indispensable d’associer les résidents des
villages et leurs désidératas, lors de travaux proches de leurs lieux de vie. Cette
approche de l’intérêt accordé aux décisions des résidents, quant aux choix des
équipements d’aménagements de leurs quartiers vaut pour tous les Saint-Pierrois
et nous entendons bien si nous sommes élus, mettre rapidement cette mesure en
pratique, partout.
Dans un cadre général, quel sera votre »politique » vis-à-vis des associations St
Pierroises ?
Réponse N° 10 : La politique vis-à-vis des associations
Le secteur associatif fait partie du tissu d’une commune. Nous encouragerons
donc les associations à participer à la vie au quotidien. De plus, nous orienterons
les associations vers un objectif perdu au fil des ans, c’est-à-dire la valorisation
« maritime » de notre commune, en proposant nous-mêmes des orientations et
des manifestations. Dans notre liste, 9 colistiers sont responsables associatifs et
5, membres associatifs. Pour ma part, je suis vice présidente du « CLIC Auray »,
vice présidente de la maison de santé « Presqu’ile Santé », trésorière du « FBI
fédération bretonne des intervenants dans le domaine de la santé », exprésidente d’une association locale de la presqu’île. De plus, nous mettrons en
place un barème d’évaluation de chaque association subventionnée et ceci afin
de répondre au mieux à l’attente des Saint-Pierrois et à une répartition équitable
des aides en fonction de la nature de l’association et du nombre de ses adhérents,
en toute clarté. Nous souhaitons que les présidences des associations
subventionnées soient irréprochables aux seins de leurs associations, s’agissant
de fonds communaux mis à la disposition des associations, nous demanderons
s’il y a lieu, le bilan annuel.
Laurence LE DUVEHAT
SAINT PIERRE QUIBERON
« Cap sur l’avenir »
Réponses
Circulation:
Votre évocation de l’utilisation du rail est intéressante, il serait présomptueux de penser que la Commune de Saint Pierre, seule, peut gérer ce sujet. Les enjeux et les parties prenantes dépassent le cadre de notre commune. Pour autant, nous serons présents dans toutes l es instances qui travaillent autour de ce sujet pour préserver la qualité de vie sur la presqu’ile et donc mieux en maîtriser les transports.
Le dossier du franchissement de l’isthme, porté par le Conseil Général, mais aiguillonné par la collectivité, avance. Les fenêtres murées, de la maison du garde barrière, sont le signe que le bâtiment est vide de ses locataires et sa démolition est une question de semaines, puisque le permis de déconstruire est affiché en Mairie. Cette avancée sera suivie par la réalisation de la voie verte qui reliera le boulevard Neptune au chemin du Pouladen.
Conjointement le CG, à la demande de la commune, s’est engagé à réaliser un accès piéton sécurisé vers le fort de Penthièvre
Mer et littoral:
Une étude de détournement du sentier de randonnées est amorcée avec l’armée. Le passage sur l’emprise militaire permettrait des déplacements sécurisés.
La propriété communale s’arrête à la laisse de haute mer. Au delà c’est le domaine public maritime géré par l’état. La redevance de mouillage est due pour l’occupation de ce domaine public maritime, les tarifs en sont fixés par l’état, la commune n’est actuellement pas gestionnaire de ce domaine.
Village:
Avant d’effacer les réseaux, il était important de vérifier le bon état des canalisations pour les eaux usées et l’eau potable. Ce travail réalisé par le syndicat ABQP, maintenant intégré dans la communauté de communes AQTA (Auray Quiberon Terre Atlantique) a mis en évidence la nécessité de remplacer ces canalisations. Ce travail est en cours pour une durée de 3 mois. Ce délai nous mènera au delà de l’échéance des élections municipales, c’est donc la nouvelle équipe municipale qui donnera ou pas une suite concrète à l’étude d’effacement actuellement engagée. Cap sur l’Avenir souhaite réaliser ces travaux.
Associations:
Votre association « VAK », depuis sa création, œuvre pour l’intérêt collectif des habitants de Kerhostin. Cette activité se fait en complémentarité intelligente avec la collectivité et en particulier les services techniques.
Dans un souci de qualité du tissu social, Cap sur l’Avenir souhaite poursuivre cette collaboration fructueuse et favoriser le fonctionnement des associations existantes, voire la création de nouvelles, en maintenant les subventions et les aides.
Souhaitant avoir répondu de manière exhaustive à vos questionnements, je reste, avec Cap sur l’Avenir, à votre écoute et peut vous rencontrer à votre demande.
Recevez mes sincères salutations.
François Dubois
